Les Trois Mouvements perpétuels de Poulenc : cycle en blanc et noir (1918)

Autores

  • Sylvie Douche Université Paris-Sorbonne IReMus

DOI:

https://doi.org/10.5380/mp.v8i2.43735

Palavras-chave:

Ravel, Satie, Debussy, matrice, moto perpetuo

Resumo

Le jeune Poulenc s’essaie à un hommage polyphonique dans ces
trois pièces pianistiques relevant de la cyclicité et qui contribueront à le faire
connaître. Il s’y montre maître des contrastes et manipule les structures
harmoniques, phraséologiques, dynamiques, scalaires, en de larges
oppositions ou superpositions à l’égal d’un peintre. L’analyse mettra en
évidence les liens entre la Sonatine (Ravel) et les Mouvements perpétuels,
dans un esprit redevable à Satie. En même temps, le compositeur tente de se
démarquer de la figure tutélaire debussyste. En tout cela, Poulenc s’avère
éminemment français.

Biografia do Autor

Sylvie Douche, Université Paris-Sorbonne IReMus

Maître de Conférences habilitée en Musicologie

Publicado

2016-05-17

Como Citar

Douche, S. (2016). Les Trois Mouvements perpétuels de Poulenc : cycle en blanc et noir (1918). Música Em Perspectiva, 8(2). https://doi.org/10.5380/mp.v8i2.43735

Edição

Seção

Artigos