Les Trois Mouvements perpétuels de Poulenc : cycle en blanc et noir (1918)
DOI:
https://doi.org/10.5380/mp.v8i2.43735Palavras-chave:
Ravel, Satie, Debussy, matrice, moto perpetuoResumo
Le jeune Poulenc s’essaie à un hommage polyphonique dans ces
trois pièces pianistiques relevant de la cyclicité et qui contribueront à le faire
connaître. Il s’y montre maître des contrastes et manipule les structures
harmoniques, phraséologiques, dynamiques, scalaires, en de larges
oppositions ou superpositions à l’égal d’un peintre. L’analyse mettra en
évidence les liens entre la Sonatine (Ravel) et les Mouvements perpétuels,
dans un esprit redevable à Satie. En même temps, le compositeur tente de se
démarquer de la figure tutélaire debussyste. En tout cela, Poulenc s’avère
éminemment français.
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Publicado
2016-05-17
Como Citar
Douche, S. (2016). Les Trois Mouvements perpétuels de Poulenc : cycle en blanc et noir (1918). Música Em Perspectiva, 8(2). https://doi.org/10.5380/mp.v8i2.43735
Edição
Seção
Artigos
